Comité de Solidarité Venezuela Paris, France
 
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01 / 2003
 
 
Solidaridad Venezuela
 
revista de prensa
enero - 2003
• ¿Quiénes juegan a la guerra civil en Venezuela?
• Resolución del Foro Parlamentario Mundial sobre la situación en Venezuela
• ¿Qué pasa en Venezuela?
• Derechos humanos para combatir la crisis
• Lejana aún, la salida electoral a la crisis en Venezuela, asegura César Gaviria
• Opositores estudian fórmulas de lucha "menos costosas" que el paro
• Una Pantalla Dividida para Venezuela rota por la huelga
 
revue de presse
janvier - 2003
• Chavez, une étoile filante à Porto Alegre
• Résolution du Forum Parlementaire Mondial sur la situation au Venezuela
• Le petit peuple est là
• Les vertueux correspondants de Reporters Sans Frontières au Venezuela 
• "Les gens du pétrole" dans le collimateur
• Un pieu au coeur de la démocratie
• La Confédération des travailleurs du Venezuela ...
 
 
 
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La Confédération des travailleurs du Venezuela ...

Le Monde, France 10/01/2003 - Courrier des lecteurs

"...Il serait bon de rappeler la nature de l'équipe dirigeante de la CTV (Confédération des travailleurs du Venezuela, dirigée par Carlos Ortega). Les dernières élections internes à la centrale (2000) avaient donné la majorité à son opposition interne (animé principalement par deux courants : le Bloc classiste et démocratique et la Force Bolivarienne des travailleurs), qui n'avait eu cesse de dénoncer les compromissions de la direction syndicale avec les principaux secteurs patronaux du pays et notamment avec ceux de l'oligarchie pétrolière, aux dépens de toute politique revendicative. Depuis ces élections internes, les procès verbaux n'ont jamais été produits par la direction syndicale et par le secrétaire général sortant, Carlos Ortega, qui se sont auto reconduits à leurs postes, faisant fi du résultat des urnes et de la consultation démocratique. Ce qui ne manque pas de piquant lorsque l'on voit Carlos Ortega réclamer la démission de Hugo Chavez et l'organisation de nouvelles élections...

( ... ) Dernière précision sur la CTV : plus de la moitié de ses adhérents "travaillent" dans ce que l'on pourrait appeler le secteur informel. Or, la direction de la centrale regroupe une minorité de salariés de l'industrie pétrolière, la mieux payée du pays, mais aussi la plus concernée par une série de privilèges qui relèvent plus de la corruption que de la revendication".

Michel Angot de Val de Marne, France.

source : http://www.lemonde.fr